François Wehrbach Photographe
Empreintes
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Présences, absence ?
Fantômes de notre passé ? - photographie François Wehrbach
Fantômes de notre passé ? - photographie François Wehrbach
Fantômes de notre passé ? - photographie François Wehrbach
Fantômes de notre passé
Présences, absences ?
Les êtres chers disparaissent.
Nous gardons en nous les traces de leur présence.
Les relations fortes, intellectuelles, sentimentales, amoureuses,
sont autant d’empreintes qu’ils laissent après leur départ.
Sont-ils réellement absents ?
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photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
Que sont devenus ces lieux tant aimés ?
Où se cachent les traces d’êtres chers ?
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Êtres chers, photos abandonnées
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Photographies abandonnées, retrouvées et utilisées comme supports de textes.
Elles reprennent vie, sortent de l’oubli et portent notre imaginaire.
Ainsi entrent-elles dans
‘La Famille imaginaire’
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Souvenirs argentiques
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
Elles « dorment » dans des boites . . .
Je les redécouvre, . . . les positionne,
. . . les assemble et crée des souvenirs imaginaires.
Couper . . . coller . . .
Elles deviennent des « Souvenirs argentiques »,
d’une autre époque, d’un autre siècle.
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Traces de vie. . .
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
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Passage de mémoire
Mémoire universelle Deux hommes nous parlent de leurs survies il y a 60 ans – photographie de François Wehrbach
Mémoire universelle Deux hommes nous parlent de leurs survies il y a 60 ans – photographie de François Wehrbach
Mémoire universelle Deux hommes nous parlent de leurs survies il y a 60 ans – photographie de François Wehrbach
Mémoire universelle Deux hommes nous parlent de leurs survies il y a 60 ans – photographie de François Wehrbach
Mémoire universelle Deux hommes nous parlent de leurs survies il y a 60 ans – photographie de François Wehrbach
Mémoire universelle Deux hommes nous parlent de leurs survies il y a 60 ans – photographie de François Wehrbach
Mémoire universelle Deux hommes nous parlent de leurs survies il y a 60 ans – photographie de François Wehrbach
Mémoire universelle Deux hommes nous parlent de leurs survies il y a 60 ans – photographie de François Wehrbach
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Mémoire universelle
Janvier 2005, pas de neige, un beau soleil, peu de vent, une température hivernale, de l’herbe, pas de boue, peu de bruit, pas de chien, des oiseaux,
et deux hommes qui nous parlent de leurs survies ici, il y a 60 ans.
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André Berkover
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
André Berkover
Dénoncés par des voisins,
André et sa mère Sophie sont arrêtés par la police française.
A Drancy ils retrouvent son frère Guy arrêté auparavant.
Le 30 juin 1944 ils sont déportés à Auschwitz par le convoi n°76.
Leur mère Sophie est gazée le premier jour à leur arrivée.
Le 25 janvier 1945 il est évacué d’Auschwitz et réussit à s’enfuir.
Il sera rapatrié seul à Paris le 11 mai 1945.
Entre 1995 et 2015, il témoigne et accompagne à
plusieurs reprises des voyages à Auschwitz.
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"Dé-couvrons l'inoubliable"
photographie et montage François Wehrbach
photographie et montage François Wehrbach
photographie et montage François Wehrbach
photographie et montage François Wehrbach
"L'espèce humaine" de Robert Antelme
Geoffroy Barbier ; Hervé Laudière ; Alain Enjary
Mise en scène : Claude Viala
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photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
Monique Antelme
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Remerciements
à l’occasion du vernissage de l’exposition
"Dé-couvrons l’inoubliable"
« Bravo à François Wehrbach pour son admirable travail de photographie sur la pièce mise en scène par Claude Viala, adaptée de L’espèce humaine de Robert Antelme.
Je salue ce travail plein de délicatesse et d’une grande sensibilité, avec toute mon admiration et mon accord, sans conteste. Merci à Claude Viala, bien sûr, et merci surtout à tous les deux d’avoir, selon nos conventions, respecté le texte de Robert Antelme à la virgule près. »
Monique Antelme, à Paris, le 19 février 2010
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Dante Sauveur Gatti
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
Les Oscillations de Pythagore en quête du masque de Dionysos
Théâtre Ville-Evrard, juillet-août 2006
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"Les oubliés de Romainville"
photographie François Wehrbach
photographie François Wehrbach
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au Fort de Romainville ont été internés
du 1er novembre 1940 au 20 août 1944
plus de 3900 femmes et 3100 hommes
avant leur déportation dans les camps de concentration
et les forteresses d’où la plupart ne sont pas revenus
152 fusillés ont vécu dans ce fort leurs dernières heures avant l’exécution.
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Dans une des casemates du fort restent les marques de leur passage dans ce lieu.
En 2012, après 68 ans d’humidité, de salpêtre, de nombreux passages, ces traces disparaissent.
Il devient difficile de lire les signatures, les noms de ces témoins,
"Les oubliés de Romainville"
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Fort de Romainville - photographie François Wehrbach
Fort de Romainville - photographie François Wehrbach
Fort de Romainville - photographie François Wehrbach
Fort de Romainville - photographie François Wehrbach
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